Certains ministres, des artistes, des sociétés d'auteurs et on en passe protestent contre la volonté de la Commission européenne, clairement exprimée par son Président, d'inclure les biens et services culturels dans le champ d'un possible accord commercial transatlantique. Mais que reste-t-il de l'exception culturelle au juste ?
Je place ici un mot que j'ai rédigé en réaction à un billet de Paul Jorion intitulé SOPA : LES AMÉRICAINS NE RIGOLENT PAS AVEC LA LIBERTÉ ! Au vu des événements postérieurs liés à le fermeture de Megaupload, ce mot précise quelques points sur les évolutions en cours en dépit des tentatives de l'industrie culturelle, dont la violence ne fait que souligner le caractère désespéré, de préserver les modèles économiques du passé.
Effervescence dans la twitto-blogo-sphère depuis quelques jours. De multiples interrogations se font jour suite à la mise en application effective de la loi hadopi et l'envoi des premiers courriels de mise en garde. Face à ces multiples réactions, une petite mise en perspective semble intéressante à esquisser...
Suite à mes interventions devant les étudiants, nous avons complété le propos par cette (longue) interview en vidéo, réalisée par Nicolas Duchon et Gregory Roussel.
Voici l'essentiel des deux interventions faites à la School of Audio Engineering de Paris pour exposer aux étudiants les enjeux, apparents et obscurs, du conflit qui semble opposer musique et internet.
Ce message est une réponse à des remarques judicieusement formulées par Bruno-Michel Abati sur Facebook, en réponse à un article publié par Vincent Frérebeau, et qui soulèvent plusieurs points particulièrement intéressants.