Dans l'édition en ligne du quotidien régional «Le Progrès» de Lyon, monsieur Pierre Kosciusko-Morizet, le PDG de PriceMinister, prend position à la fois contre le téléchargement illégal et la loi qui prétend l'interdire. De plus, il semble fonder son opinion sur un ensemble d'idées reçues hautement discutables et qui méritent qu'on leur torde un peu le cou...
Cet article paru dans le journal « Le Monde » en date du 16 avril 2009 expose les raisons qui ont poussé certains pays membres de l'Union Européenne à opposer leur véto à l'allongement des droits voisins sur les enregistrements phonographiques.
Les quatre responsables de The Pirate Bay, un des principaux sites de téléchargement au monde, ont été condamnés vendredi 17 avril à un an de prison ferme ainsi qu’à une lourde amende (2,7 M€) pour complicité de violation des droits d’auteur par un tribunal de Stockholm.
Suite à l'adoption de la loi hadopi, j'ai été invité par Marion Delhaye et Christophe Bouillot à m'exprimer sur la question dans le cadre de cette belle série d'émissions diffusées sur les audio-blogs d'Arte, et consacrée aux métiers du son.
Franck Riester est député UMP et rapporteur du projet de loi "Création et Internet". Lors du débat en commission à propos de ce texte, il a dit une grosse ânerie sur l’interopérabilité, et ça méritait bien un mail...
Ce message est une réponse à des remarques judicieusement formulées par Bruno-Michel Abati sur Facebook, en réponse à un article publié par Vincent Frérebeau, et qui soulèvent plusieurs points particulièrement intéressants.
Le nouveau gadget implanté par Apple dans la version 8 d'iTunes va au delà du simple guide pour les utilisateurs du programme et peut avoir plusieurs usages selon l'orientation que prendra l'internet de la musique dans l'avenir.
En préparant mes lectures de vacances à la veille du départ pour deux semaines de repos, je voulais retrouver ce texte de Régis Debray jadis publié sur un site qui n’existe plus ou a changé de nom de domaine. Fort heureusement, le site http://www.archive.org en conserve une copie que je me permets de reproduire ici sans l’accord explicite de l’auteur car je trouve qu’il en vaut la peine. Le site original était celui du festival de musique de Fès, dont le nouvel URL est http://www.fesfestival.com mais dont les archives ne remontent pas (encore sans doute) jusqu’à 2003, date à laquelle Régis Debray prononça le discours qui suit :